Quelques pas en Aubrac
Le village était assoupi, écrasé de chaleur. C’était un village déserté par qui préférait manifestement la fraicheur d’un intérieur en ce début d’après-midi. Pour nous qui arrivions du plein sud où la température quotidienne n’était jamais descendue en-dessous de 38°, nous balader à travers les ruelles surchauffées et paisibles était un plaisir. Le seul truc qui m’agaçait était qu’il me fallait attendre pour partir sur le plateau. En effet, comment découvrir quand le soleil écrase couleurs et formes des paysages ?…